1. Est-il nécessaire de prévoir une transfusion sanguine ?
Dans de très rares cas où le volume mammaire est très important, une autotransfusion sanguine peut être justifiée.
Dans de très rares cas où le volume mammaire est très important, une autotransfusion sanguine peut être justifiée.
6 à 8 semaines
Non, actuellement nous utilisons préférentiellement le Botox pour diminuer ces rides.
Non, l'amélioration, même par les techniques récentes, reste toujours très modérée en ce qui concerne les cernes.Leur correction nécessite l'association à d'autres techniques ( injections, laser)
Les patients sont habituellement très satisfaits de leur apparence pour de nombreuses années.
La résection de la graisse responsable des poches est définitive, elles ne récidivent donc habituellement pas
On considère qu'un lifting dure en moyenne huit à dix ans.
Le lifting cervico-facial à proprement parlé ne corrige pas ces rides ; elles peuvent être améliorées par la Toxine Botulique, comme les rides du lion.
Le lifting corrige l'affaissement des pommettes, permet de retrouver l'ovale du visage et enlève les « cordes » tendues au niveau du cou.
Cette intervention n'est pas faite pour traiter le problème de surcharge pondérale. On peut espérer une correction de l'abdomen proéminent (abdomen pendullum).
Pas toujours. Si les vergetures sont localisées en dessous du nombril, la chirurgie enlève presque toutes les vergetures.Si celles-ci sont étendues à la région sus-ombilicale, il ne sera pas possible de toutes les faire disparaître.
Quatre à cinq semaines de dispense de sport sont nécessaires et parfois plus si la correction d'un diastasis a été réalisée.
Cette intervention n'est pas ou peu douloureuse si aucun geste n'est réalisé sur les muscles.
Dans certains cas, quand le relâchement cutané est isolé, limité à la portion sous-ombilicale, on peut retendre la peau sans modifier la position du nombril et avoir ainsi une cicatrice plus courte, juste au dessus du triangle pubien.
Oui, en corrigeant le relâchement des muscles de l'abdomen et en enlevant toute la peau en excédent, ainsi que la graisse. En contrepartie il y aura une cicatrice plus ou moins étendue. Il est donc nécessaire, pour décider, de voir des photos avant et après l'intervention chirurgicale.
Non : grâce à la diminution de la glande mammaire, on diminue le risque de cancer du sein.
Il faut attendre 1 à 2 mois avant de reprendre les activités sportives.
Dès la fin de la croissance et au-delà, pendant toute la durée de la vie.
Il faut attendre au minimum 6 mois après l'opération de chirurgie esthétique. L'allaitement est variable selon la technique. Le résultat esthétique peut être altéré après la grossesse, surtout en cas de variation importante du poids.
Non, si l'hypertrophie mammaire et l'affaissement sont modérés, on pratique la méthode dite « verticale » qui permet de supprimer la cicatrice horizontale située dans le sillon sous-mammaire.
Si la réduction du volume mammaire est supérieure à 300g par sein, il existe une prise en charge de la Sécurité Sociale ; un arrêt de travail est éventuellement prescrit pendant 1 mois.
La prothèse étant derrière la glande mammaire, la surveillance clinique est simple. La présence d'un implant peut modifier la capacité des rayons X à dépister le cancer du sein. Les patientes porteuses d'un implant mammaire doivent le préciser au radiologue qui pourra utiliser des méthodes spécifiques et adaptées (échographie, mammographie numérisée).
La mise en place d'implants mammaires derrière la glande mammaire ne semble pas avoir de retentissement sur l'allaitement.
Toutes les études scientifiques (à grande échelle et à long terme) ont prouvé que les femmes porteuses de prothèses mammaires ne développaient pas plus de cancer du sein que les autres.
Non, sauf syndrome malformatif et cas particuliers tels : syndrome de Poland, agénésie, hypoplasie mammaire très sévère
Il n'est recommandé de changer les implants mammaires uniquement en cas d'usure de celles ci. Une surveillance régulière est nécessaire clinique et radiologique afin de surveiller cette usure.
A l'aide d'implants mammaires d'essai ainsi que la comparaison avec d'autres patientes opérées, la patiente et le chirurgien plasticien arrivent à déterminer le volume désiré de la prothèse.
Absolument pas : cela est strictement interdit par la sécurité sociale ; votre convalescence post opératoire doit se faire sur des congés et non un arrêt maladie.
Les patiens nous consultent de :
etc...
279 Avenue du Prado,
13008 Marseille
Tél : 04 91 16 22 52
Clinique chirurgicale de Martigues,
9 rue Edouard Amavet
13500 Martigues
Tél : 04 42 35 42 35
Espace Médical des Cognets,
30 Ronde des Florins
13800 Istres
Tél : 04 42 55 18 69